Recherche d'un but

Joseph se dit qu’il ne pouvait pas parler du chantage et du problème diplomatique, si se n'était pas assez que dans son temps se soit la guerre civile, à Orenna. Donc il dit:

-Zack est parti devant pour inspecter le chemin que nous allons emprunter demain, pour une mission. Comme la mission est importante et dangereuse, moi et le ranger nous nous sommes dit qu'il valais mieux le suivre de loin et d'en l'ombre pour le protégé. Et c'est là que vous êtes apparu.

C'est alors qu'il se rendit compte qu'elle s'était endormis pendant qu'il parlait. Ne pouvant laisser une femme seule, même si elle sait se défendre, il la appris a son insu, il ne pu partir rejoindre ses amis. Il iras tout de même vérifier qu'il pouvait parfaitement voir les trace de pas nue du moine et le sciage du ranger dans le champ. Il reviens a l'endormit et monta la garde jusqu’à se qu'elle se réveille.

HRP : Le Ranger n'est pas du même coté du chemin que le légionnaire joseph. Donc tous ce qui se passe se passe sans le ranger.

Voyant la scène se dérouler devant le Ranger Namara Sybarite, Celui-ci ne pu s'empêcher de se dire seul dans son buisson.

- Bon quoi de mieux... Voilà cette femme là, aussi quoi de mieux pour presque nuir une mission.

De son coté, le Ranger connaissait Orenna suite à la dernière mission de stirlingrad et de la guilde des marchands. Ainsi, le Ranger Décida de se mouvoir dans les champs et la forêt pour s'éloigner le plus du groupe et du chemin ne gardant pour lui une trop petite vision de zach marchant vers le lieu de reconnaissance. Il se dit qu'il était mieux de disparaitre pendant un certain temps du groupe jusqu'au lendemain.

HRP : ce qui veut dire le le ranger disparaît vous ne le trouverai pas suite pour débuter le convoi le lendemain. Lorsque vous arriverai au lieu de l'échange, Le Ranger restera là jusqu'au lendemain.

HRP : dsl srx javais pas vu le message, je pensais que tous le monde cétait désintéressé à joué fek je trouvais sa plate de voir le forum abandonné comme sa prochaine fois j'irai minformer. tinquiete mon but cétait pas de prendre le controle.

Lorsque le moine arriva au sommet. Le ranger resta de coté pour garder un oeil sur lui en espérant que tous se passe bien.

Ainsi donc le temps passa que le Ranger se demanda se qui se passa. Voilà que d'un coup d'éclair traversa l'esprit de Namara. Celui-ci alla rejoindre le moine pour l'aider dans son pelerinage ou plutôt sa reconnaissance. Sortant de son buisson, il aperçu la vue incroyable sur la cité interdite et ne pu s'empêcher de prendre un bref moment de répit face à ce spectacle de grandeur digne de la beauté naturelle elle-même.

HRP : Du haut de la montagne je vois tu quelques chose qui peut attirer mon gout d'aventure pour prochaine mission.

Le Ranger face au paysage Se dit que lorsque tout cela sera fini. Il ira là où le vent le mènera. Mais ce, pas avant la fin de sa mission. Le Ranger Namara continua son chemin.

HRP: désolé.
Le moine s'était perdu dans ses pensées en voyant la cité détruite. Il réalisa que le ranger l'avait rejoint seulement après que celui-ci l'ait dépassé. Cependant, dans les nombreuses fermes visibles, il ne reconnaissait pas le lieu où il devait enquêter. Il rejoint donc le ranger pour lui demander son avis sur la direction à prendre.

Voyant le moine venir le rejoindre. Le ranger ne pu s'empêcher de se demander dans quelle direction aller ?

- Euh... Je ne sais pas vraiment zack où je vais mais bon, on sera bientôt fixer sur cette question. Le ranger était tout de même confu par la direction qu'il était en train de prendre.

- Une chose est sûr, après cette mission, je pars à l'aventure de ces terres dévastées. tu vois là-bas où les fermes pillées. Je compte bien m'y rendre.

Le temps filait et les nuages jetèrent de sombres ombres sur le au de la colline où étaient perchés le jeune pèlerin et le Ranger. Le vent se leva brusquement et une volée de corbeaux passa en trombe non loin d'eux, croassant un sombre présage.

En marge du sentier, au pied de la montagne, se trouvait une vieille habitation et un homme solitaire semblait se bercer sur sa chaise. Le grincement de son siège parvint en échos aux oreilles des voyageurs, comme témoin du vide des prairies autrefois verdoyantes, mais il ne restait désormais plus que des pâturages vide et piétinés... Plus personne ne semblait encore vivre en cet endroit en ruine.

Le ranger face à ces paysages ( si bien décrit ) s'approcha de l'homme en train de se bercer sur sa chaise. Le Ranger Namara se m'y sur ces gardes face à l'homme en berce. Même vieux une embuscade n'est pas à négligé.

- bonjour cher ami, excusé moi de vous déranger en cette journée..... délicieuse. Mais seriez-vous en mesure de me dire que s'est-il passé par ici pour que se soit autant désolant.

Le vieil homme, à l'arrivée du Ranger cessa son balancement. Le Bonhomme, dont la grosseur de sa barbe grise et blanche n'avait d'égale que la taille de sa bedaine, leva la tête vers le ranger. Il releva un instant son chapeau de paille qu'il avait rabaissé sur ses yeux pairs et puis le détailla du regard.

Le Ranger sentit alors le poids de se regard peser sur sa propre personne, comme si l'homme sondait le creux de son âme. Après quelques secondes qui parurent une éternité, le vieil homme voila de nouveau son regard derrière son chapeau et repris son lent bercement sur sa chaise. Fait cocasse: il tenait à la bouche un brin d'herbe, qu'il semblait mastiquer inlassablement.

- Vous me paraissez bien prétentieux de vouloir me poser des questions de la sorte, alors que vous n'avez même pas le culot de vous présenter jeune homme...

C'est alors que le Ranger pu apercevoir que le gros bonhomme tenait sur ses genoux une vieille Winchester, le cran armé et probablement prête à faire feu. Il réajusta les bretelles de sa salopette brune et attendit la réponse du Ranger, et ce dernier su pertinemment qu'il devait donner une réponse qui le satisfasse.

Le ranger face à cette winchester fut abasourdie. Cela fesait des années qu'il n'avait pas vu une arme comme celle-ci dans son monde et encore voilà dans de ce monde il y en avait une. Mais trève de reflexion sur cette arme le ranger su que l'homme pourrait commettre l'irréparable à tout monent. - Pardonner mon imprudence, suite à ma question. Je me nomme Namara Sybarite ,Ranger de reconnaissance et messager dans les terres dévastées. Je ne voulais pas être insultant à votre égard mais seulement savoir qu'est-ce qui s'est passé par ici parce que voyez-vous dans mon coin de pays ces choses fréquentes ce genre de ruines donc si je pouvais me rendre utile me voilà

Le gros bonhomme s’esclaffa d'un rire gras et sonore.

- Hahaha! Un ranger... voyez vous ça! Depuis quand les gens de votre espèce ont ils considérés les intérêts d'un vieillard comme moi? Vous êtes messager? J'ai un message pour vos supérieurs: il est trop tard. C'est il y a un mois qu'ils auraient du envoyer des renforts. Vous avez vu ce qu'Ils ont faits à nos maisons? Eh bien elles sont en ruine voyez vous!

L'homme leva lentement son arme en direction du Ranger et le mit en joue.

- Vous avez dix secondes pour me déclarer vos réelles intentions en venant sur mes terres, et ne me refaites pas le coup du: "Je viens pour vous aider" on me l'a déjà fait celui-là; et résultat Ils ont tués mon fils.

Dans ses yeux se lisait une certaine folie, alimentée par la rage. De vieux souvenirs s’entrechoquaient dans son esprit, rendant son état émotionnel très instable.

voyant bien que l'homme était sérieux. Le ranger senti en lui une certaine arrogance, donc il resta devant le vieillard et lui répondit en haussant le ton :

- Non de dieu de merde, vous croyez vraiment que je serais venu me faire chier à venir vous proposer mon aide si ce tas de ruines m'importais peu. Selon mes supérieurs vous ne valez même pas la peine du déplacement. Donc si vous avez envie de descendre le première homme vous proposant son aide pour la simple raison que vous étiez bien assis tirez MAINTENANT ou à moins que je doivent vous le redemander encore ... PUIS-JE VOUS AIDER. Cria le Ranger tout en se colant au canon de l'homme

- la question que vous devez vous poser est plutôt serez-vous avec moi le jours ou il sera temps de traduire ces hommes qui ont fait ça à votre village en justice. Serez-vous àa coté de moi ou resterai0vous la assis sur votre chaise en méditant sur votre malheur

Un peu en retrait, Zackary réfléchissait à une manière de sortir son ami de cette situation délicate.
Il s'agissait certainement du Vieux Tom, dont la lettre faisait mention, mais ne sachant pas à quoi s'attendre de l'Organisation et n'ayant pas discuté, en connaissance du lieu et des conditions avec le Ranger, il ne pouvait prendre aucune décision à la légère.
Garder la couverture? Demander des questions sur l'Organisation?

Zackary s'avança derrière son ami pour parler à l'homme.

- Veuillez pardonner le tempérament de mon ami.
Je me nomme Zackary Yaddl'Ajoa. Je décidé de partir en pèlerinage dans la région et le Ranger Sybarite a décidé de m'accompagner au cas où des malfrats organisés voudraient me prendre en otage pour avoir une quelconque récompense.
Vous devez être Tom? J'ai entendu parler de vous.
Je tiens à vous offrir toutes mes condoléances pour votre fils...
Si nous ne pouvons vous aider, nous partirons.

Perdu un peu dans ces pensées le Ranger en avait presque oublié son compagnon. le Caractère du ranger ne changea pas il resta devant l'homme toujours avec autant d'arrogance en espérant que l'homme comprendra que ces intentions ne sont que sincère

Sans montrer le moindre signe de collaboration, le vieillard continua de braquer son arme sur le Ranger. Namara s'étant lui-même plaqué le torse dans le canon de l'arme, il devenait évidement que si jamais cet homme venait à tirer, il le transpercerait de part en part.

Quand le moine s'approcha, il le fixa de son seul œil (Namara et Zarckary supercarburant que le deuxième était un œil de verre), mettant toujours le Ranger en joue. Il porta cependant une attention particulaire à ses propos. Il rumina quelques mots incompréhensibles dans sa barbe et se décida finalement à répondre.

- Et ce n'est certainement pas votre bonté d'âme qui vous a fait escorter cette personne? Combien il vous paye pour le trajet, Ranger? Et vous (il s’adressait maintenant à Zackary), comment connaissez-vous mon nom? Je crois que ma personne est loin d'être fameuse au point que mon nom atteigne les oreilles d'un moine en pèlerinage.

- Connaître pour ne pas juger, comprendre pour ne faire qu'un. C'est en ne faisant qu'un avec l'énergie de toute chose que mes pouvoirs me sont offerts. Donc j'écoute et me renseigne. J'ai eu vent de ce qui s'est passé ici et me suis dit que si mon aide, à quelqu'un pouvait bénéficier ici, alors je viendrais.
De plus, je ne paie pas ce Ranger, il me suis car nous avons combattus ensemble lors de bien des épreuves, y compris contre les lycans-cyborgs.

C'est en se liant d'amitié, en créant des alliances que nous devenons forts. Création de joie, récolte de joie.
Certains s'opposent à cette force, créant le malheur chez les autres. Je lutterai toujours contre ceux-ci... Je prierai pour votre fils et vous même.
Je vous offre mon aide, mais je vous demande hospitalité, une heure au plus. Après quoi je continuerai ma route ou reviendrai si vous en avez besoin.

HRP: Demain je n'aurai pas accès à Internet, je serai parti toute la journée, je ne pourrai pas répondre dans l'immédiat.

Écoutant les supposées sages paroles du moine le Ranger vit dans le regard du vieil homme une assurance digne d'un ranger prêt à faire feu. Et bien soit, qu'il en soit ainsi. si Namara devait mourir voudrait mieux mourir au main d'un homme étant capable de le faire et d'assumer. Sur quoi le Ranger ne broncha pas ( il ne bronchera jamais d'ailleurs ).

- si vous imaginez que j'ai abattu 2 griffe-morts de mes mains, détruit Ian Gordenis le sale et fais plusieurs retour dans le temps et dans le futur qui vont me faire reculer et bien vous êtes mieux de faire feu à moins que vous vous décidez de m'écouter enfin et de me .... de nous laisser vous aidé à faire le ménages et à traduite les malfrats en justice. Répondit le Ranger toujours aussi sévère.

Le ranger actionna son poing balistique

Le vieil homme jugea un instant les deux hommes, pesant à nouveau le poids des propos qu'ils venaient de tenir à son attention. On lu dans ses yeux qu'un déclic venait de se produire. Il baissa finalement sa winchester et désarma le chien.

- Bon, je crois que je vais prendre le risque de vous faire confiance... Hump... Aller, entrez.

Il quitta sa chaise berçante et entra dans la vieille cabane, invitant les deux jeunes gens à entrer à sa suite.

Le Ranger devant l'homme, baissa son arme. Au fond du Ranger celui-ci n'avait pas vraiment l'intention de l'utiliser, mais tout de même de se tenir prêt à toute possibilité.

- Je savais bien que vous finiriez par entendre raison vieil homme.

En entrant dans la maison le Ranger se nomma.

- Maintenant oublions ce qui vient de se passer, je me nomme Ranger Namara Sybarite à votre service et voici mon compagnon Zack pour les intimes.