Recherche d'un but

Bon comme promis je fais mon rôle play. À vrai dire, après les évènements passées avec les guildes des guildes et que mon foutu portail pour retourné dans mon monde ne s'est jamais ouvert encore, je crois que d'offrir mes services de ranger et courrier à la nation ne me ferait pas de mal. Que se soit pour les résidents, les guildes, ou un royaume, peu m'importe seulement de ne pas moisir à l'attente de mon portail. Et même dirait-je, si l'occasion de trouver un moyen pour que je puisse retourne à mon époque devait s'ouvrir à moi je sauterai sur celle-ci coute que coute. Si certains de mes anciens compagnons souhaite se joindre et bien soit. Ah oui! Mon nom, Ranger Namara Sybarite, Compagnon de la 1er reco et survivant de l'abri 34 section terraformation. Et si des fois, le vent devait m'apporter sur la route de ces foutus légionnaires de césars. Et bien, Disons que mon chemin sera différent.

Un homme tout de noir vêtu fit son entrée en scène. Le visage ridé, les cheveux poivre et sel noués en une queue de cheval et un parapluie à la main, l'étrange individu qu'on aurait pu qualifier de Majordome passa non loin de là. Bien à l’abri du soleil sous son accessoire, l'homme fixait inlassablement une feuille de papier qu'il tenait dans son autre main. Il semblait compter en marmonnant, comme s'il s'agissait d'une liste; mais qu'il voulu s'assurer de ne rien oublier.

Le majordome s'arrêta sans crier gare. Lentement, il releva la tête et regarda le Ranger droit dans les yeux. Il jeta un coup d’œil à nouveau à sa liste et fixa de nouveau l'homme face à lui. Simplement dans le but de s'en assurer, il extirpa un monocle de sa poche, le porta à son oeil gauche et répéta le manège une demi-douzaine de fois.

- Namara Sybarite, je présume?

Ainsi donc le Ranger Namara surpris de ne pas s'être fait tiré dessus par un quelquonque vieil homme. Car dans son ancien monde les terres dévastés, autant un vieil homme qu'une femme qu'un petit garçon lui aurait peut-être tiré dessu. Mais bon quoi qu'il en soit rien ne peut ébranler sa confiance et son courage face aà ce nouveau monde rempli de je-ne-sais-quoi-trop. C,est ainsi que Namara Sybarite pris part à cette chance de nouvelle quête.

-Ranger Namara Sybarite, Compagnon de la 1ere reco et courrier des terres dévastées à votre service... monsieur...?

- Mes employeurs ne tiennent pas à ce que je révèle mon nom à la va-vite. Un homme de votre calibre comprendra certainement que cela nuirait à la notre business... Pour des raisons techniques, je me présenterai donc à vous sous le pseudonyme d'Alfred.

Le majordome fit une légère révérence et fourra la papier qu'il tenait en main dans sa poche.

- Maintenant que les présentations sont faites, laissez-moi vous faire part de mes intentions. J'ai eu vent de vos exploit en temps que courrier. À ce qu'on raconte, il n'y a pas plus rapide que vous pour délivrer un message dans toute les terres dévastée, en fin... à votre époque d'origine si je puis me permettre. Mes employeurs recherchent actuellement des hommes de talents afin d'effectuer quelques menues livraisons...

- Je serais ravi de faire ces certaines livraisons pour vous. Il va de soit qu'il doit y avoir un paiement dans tous ça mais moi je demanderais en une information sur un légionnaire nommé Acutus Binomagus. Ainsi ma tache accompli, vous aurai les infos que j'aurai de besoins.

La demande du Ranger, quoi qu'arrogante face à cette première rencontre, celui-ci garde en lui une assurance doublé d'une férocité à travers ces mots.

- Il me fera plaisir de vous servir pour le bien de mes nouveaux employeurs. Allez, raconter moi ma mission ?

Sans même porter attention sur l'air surpris de l'homme, Namara suivit jusqu,En lieu sur l'homme vêtu de noir nommé Alfred.

- Au point où j'en suis rendu, on ne peu pas reculé.

En vu de la porte le Ranger pensa à une piège ou à des hommes cachés derrière de la légion pour le tuer. Mais peu importe ce qu'il devait arriver il se sentait prêt.

- Cependant si c'est un piège Majordome je vous promet que je ne fais pas de quartier, dit-il tout en ouvrant la porte de fer.

Alfred fit une révérence et quitta le long escalier. Lentement, il entrepris l’ascension en sens inverse. De retour dans l'enceinte du Bazar, il parcouru au hasard les nombreuses allées, cherchant définitivement quelque chose. Il ne tarda pas à trouver ce qu'il cherchait. Il lança deux cristaux au tenancier et quitta les lieux.

Le majordome s'assit sur une caisse à l'extérieur du bazar. Il jeta un coup d’œil à sa montre à gousset. L'homme avait un léger retard sur l'horaire... typique pour un aventurier... Alfred se demandait décidément pourquoi ses employeurs avait sollicité les service de CETTE personne... Allons bon. Il n'était pas payé pour se poser de telles questions.

Un peu plus loin sur l'allée, à travers la cohue typique de l'endroit, persistaient des pleurs enfantin. Un jeune garçon était à genou dans une ruelle. Maladroitement enrubanné dans des linges pas tellement assainis, le moignon pendant à la place de son bras le faisait souffrir affreusement. Il s'était fait prendre par un marchand et il y avait laissé sa main. C'était fini pour lui, voler pour survivre. C'était fini pour lui, voler comme survivre. Arriva cependant un homme, un moine apparemment, qui lui demanda d'examiner sa blessure. Peu enclins à parler ainsi à un inconnu, l'enfant n'avait guère le choix. Le moine retira les bandages et plaça son bras contre celui de l'enfant. Lentement, la douleur s'arrêta, puis rapidement, son bras repoussa alors que la bras du moine semblait se faire découper sans raison. Le moine garda à sa ceinture un de bandages que l'enfant avait utilisé, comme un souvenir et en pris un autre sous ses habits qui semblait propre, il attacha le bandage sur son bras mutilé et sourit au jeune garçon.
- Soit plus prudent la prochaine fois et fait-toi oublier. Bonne chance!

Il reprit son chemin dans l'allée pour trouver un endroit adéquat où il pourrait prier pour soigner son membre.
Il s'arrêta. À quelques mettre de lui, encore cet homme avec le parapluie. Il semblait attendre. Mais quoi?

Toujours incertain des intentions de l'homme, Zackary s'était légèrement tourné de côté, dissimulant son handicap temporaire tant par sa position qu'en plaçant un grand foulard par dessus.
Il évalua son interlocuteur du regard avant de répondre d'une voix posée.

-Et que me vouliez vous?

Le Ranger sans posé aucune question à personne, simplement parce qu'il n'en a rien à faire ou parce qu'il ne sait pas quoi dire, entra dans le magasin toujours vigilant de ces hommes qui ont l'air tout autant loyal et impardonnable. Il se dit que le métier de courrier n'est pas de posé de question mais bien de livrer. Rien de plus. Le Ranger entra dans le magasin.

- Ma rétribution n'est pas que la fortune, j'espère que vous en êtes conscient. Alors, allez-y, expliqué moi cette livraison. Messire Alfred.

Le Ranger regarde ces hommes et compara dans sa tête les hommes de son époque. Ils sont tous du pareil au même. Avec des bonnes intentions entourées de rêves noirs et vice-versa.

Zackary entra à la demande poliment formulée du majordome. Toujours sur ses gardes en tentant de le dissimuler, tout comme son bras, il passa devant lui et vit son ami commando en entrant.

- Voilà un visage familier! Heureux de vous revoir cher ami. Comment allez-vous?

Le moine prit également le temps de remarquer les lieux, le Gobelin au comptoir, les étalages fournis, une montagne de draps mortuaires.. Puis il se retourna vers le majordome qui partagea quelques mots au Ranger, après lesquels il prit la parole.

- Qui est ce Smokey? Et en quoi aviez-vous besoin de mon savoir et mes compétences, car elles ne s'achètent que par la bonne foi, l'honnêteté et la générosité. De plus, j'aimerais bien savoir à qui j'ai affaire, sans qu'on m'envoie son homme de main. Sans vouloir vous offenser cher monsieur, seulement êtes-vous bien traité? Ce que je veux dire c'est qu'on ne doit pas mépriser la vie de quelqu'un pour protéger la sienne. Vos employeurs sont-ils bien conscient de la valeur de chaque vie?

Le Ranger considéra la question sur la valeur des vies face à la sienne. Et la seule réponse lui venant en tête est :

- Je considère la vie des gens comme sacré en autant que ceux-ci en face de même. Cependant si vous parler de mon ennemi Acutus, je ne vous mentirai pas celui-là va bien y passer le jour venu. C'est une certitude. À mon époque on nous disait toujours en sacrifier une poignée pour en sauver des milliers. Ne vous en faites pas je ne suis pas un mercenaire, seulement celui qui va rétablir l'équilibre pré-établie. La loi et l'ordre voilà ce que je suit. La loi et l'ordre de mon époque. Que cela vous fasse ou non voilà mes conditions pour un travail bien fait.

Le ranger continu à regarder Zachary avec conviction de ces propres mots.

- Alors s'il-vous-plait, venez-en au fait si vous voulez que je soit productif merci.


Fit Namara Sybarite du même regard

HRP : peu tu essayer de me dire a qui s'adresse tes discussion pcq voit tu celle la on dit que c'était Zachary qui s'adressait au majordome

HRP Essaye de me dire a qui s'adresse les personnages dans leurs discussions. Parce que il semblerait que je n'ai pas parlé a smokey mais dans la discussion on aurait dit que smokey me demandait daller dans le magasin pour continuer ma mission. Bref je sais pu ki à qui est adresser une certaine discussion et à qui il ne l'est pas Merci pi a date jai bien le role play fek c un peu pour sa que je veu ke sa continu

HRP Tu étais supposé etre entré devant Old Smokey, pendant que le majordome allait me chercher pour m'emmener au meme endroit. mais bang t'es genre entré dans le bazar alors que t'étais déjà au sous-sol.
Et le grand message ne t'était nullement destiné. Je me suis retourné Vers le majordome avant de parler, c'est donc lui le destinataire de mon message.
Bref attendons que notre interlocuteur majordome nous (ré)invite à descendre, ensuite on évitera de joindre d'autres participants, parce que la double occupation du sujet ne t'a pas aidé à le suivre.

- Rassurez-vous ami, je ne mettait guère en doute vos convictions. Si selon vous cet homme doit mourir eh bien soit, pour avoir vécu des aventures près de vous, j'ai confiance en votre jugement.

Détournant le regard vers l'homme qui l'avait emmené ici, il continua:

- Je ne peux malheureusement pas encore en dire autant à votre sujet, j'aimerais avoir des explications et une réponse à mes précédentes questions.

HRP : merci lol Jcommencais vrm à etre confu... lol javais pas allumé en plus que cétait zachary le moine lool...

À son retour dans le bazar, accompagné de son '' ami '' le majordome, le Ranger finit par reconnaitre le moine nommé Zachary. Sur le coup le Ranger se senti stupide de ne pas avoir réalisé ceci. Ainsi pour se faire pardonné, le Ranger se tourna vers zachary tout en dévisageant le gobelin au comptoir.

- Ça alors, excuse moi Zach. Je ne t'avais pas reconnu. On peut dire que le temps passé m'a permis d'oublier mes quelques aventures passé.

Le Ranger s'approcha de Zach en lui mettant une main sur l'épaule. Accolade digne de l'amitié pourrait-on dire.

- Je ne m'attendais pas a vous voir de sitôt. Vous êtes courrier vous aussi... ou bien soldat de fortune. Fit le ranger au moine

Le Ranger sans dire un mot suivi le majordome pour rencontrer une deuxième fois smokey.

Juste avant que le majordome ne les invite à descendre, le moine répondit à la question du ranger en posant son seul bras encore valide sur son épaule également:
- Je ne suis ni courrier ni mercenaire, je transporte cependant un message. Il ne s'agit pas d'une missive, mais de valeurs.

Après les mots du majordome, Zackary acquiesça, toujours un peu méfiant, bien que le fait que son ami soit présent le rassura. Il suivi donc le mouvement.